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Pegging, je sodomise mon Mari au gode-ceinture

Ce n’est pas une pratique habituelle entre MrSirban et moi, mais dans le tableau des défis coquins 2023, i y a une  ligne pouvant se transformer en malus : si je ne réalise pas deux séances de pegging dans l’année, je perds des points. Sodomiser mon Mari ne me vient pas à l’esprit en sachant que celui lui fait mal.

C’est ma quinzaine Domina, j’en profite pour réaliser ce sexchallenge en optant pour une tenue féminine avec une combinaison résilles à strass, des escarpins vernis vertigineux de 15 cm – phallique jusqu’au bout des pieds – et… le strapon autour de ma taille avec un pénis en silicone noir de 15 cm également. Vous allez rire mais je me suis cognée partout avec mon zizi !

Je n’ai pas pris mon Homme au dépourvu en l’avertissant la veille qu’il serait sodomisé. Cela lui permet de se préparer psychologiquement et physiquement. Il appréhende toujours la « boîte à chocolat » et aime pouvoir se nettoyer de fond en comble avant la séance de pegging. Cela lui permet d’être plus serein et relaxé sur ce point délica-ca !

Mon soumis se positionne à quatre pattes sur le lit pour se faire prendre. J’arrose ses fesses de lubrifiant à base de silicone, caresse son anus jusqu’à ce qu’il s’ouvre naturellement sous les doigts. J’en glisse un, puis un autre. Je titille son anus avec le gode ceinture sans le pénétrer, juste sur le bord. Il est tout à la fois stressé et excité par la situation. Il appréhende l’instant S… sodomie !

Après avoir dilaté le petit trou du soumis et remis du lubrifiant, je prends en main le gode et pénètre son anus. Ce n’est pas évident, car il n’est pas totalement rigide et se courbe. Je rentre très doucement dans ses fesses en observant les réactions de son corps, prête à arrêter s’il a trop mal. L’excitation peut le mener au-delà des limites physiques. On fonctionne pareil sur ce sujet.

Les premières minutes s’avèrent douloureuses. Le plaisir cérébral du pegging est dominé par la souffrance physique. Je propose à MrSirban d’arrêter mais il tient à poursuivre le temps que son cul s’habitue au strapon. Je bouge a minima en essayant de jauger ce qu’il supportera. Au bout d’un moment, il se détend. Voilà le soumis dompté, je le sodomise un peu plus aisément.

C’est la troisième fois que nous pratiquons le gode-ceinture. Notre premier pegging remonte à 2019 (article de MrSirban et le mien) et on a retenté l’an dernier. On est loin d’être experts. MrSirban aime l’humiliation subie, mais n’arrive pas à avoir d’érection malgré quelques râles de plaisir et n’éjacule pas avec la sodomie. On dialogue pendant la séance pour qu’il puisse guider si besoin.

Je me sens plus à l’aise que les fois précédentes et – sans ressentir de plaisir physique – la pénétration anale de mon Mari est un peu plus facile en basculant en mode cérébral. Sa souffrance se mue comme le don d’un soumis à sa Domina sadique. Je fais de lui ma chose, mon objet. Il n’est qu’un trou à brusquer. Il n’est pas contraint. On y consent tous les deux !

De mon côté, en le pénétrant, j’imagine comment j’aime être prise car n’étant pas outillée, le mouvement de bassin n’est pas naturel pour une femme mais vient vite. La levrette permet de caresser le sexe, les fesses, le dos. On a déjà tenté la sodomie de face. Pour MrSirban, cela demande de lever les jambes – ce qui est humiliant comme position – mais on peut se regarder pendant la pénétration.

Pour clôturer la séance de soumission, je l’ai masturbé puis me suis allongée sur le dos en demandant au soumis de se faire jouir sur mon sexe. Le feu ardent entre ses fesses et la sollicitation de sa prostate amènent un superbe orgasme à MrSirban, qui se cabre de plaisir avant de s’effondrer, épuiser, perclus suite une puissante jouissance venue des entrailles.

On a fini en expliquant chacun nos impressions et sensations. On ne peut pas être dans le corps de l’autre et c’est important d’en parler sans gêne. J’ai également découvert que je pouvais faire zizi-coptère avec le gode-ceinture, ce qui nous a bien fait rire !

Je me suis faite femme phallique le temps d’un après-midi où j’ai sodomisé mon Mari avec un gode-ceinture. Si vous n’êtes pas habitués à la pratique du pegging, il faut prendre le temps de dilater l’anus et ne pas hésiter à mettre beaucoup de lubrifiant. Ensuite, écoutez le corps de votre partenaire. Observez le et dialoguez. On a tous les deux beaucoup appréciés cette séance !


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37 commentaires sur “Pegging, je sodomise mon Mari au gode-ceinture”