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[Jean-Paul Four] Souffrance

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Lorsque nous sommes allés à Lyon l’année dernière, nous avons fait un shooting photo au studio du photographe fetish/BDSM : Jean-Paul Four. Dans mes requêtes, j’avais demandé : pas de douleur physique… Et comme Monsieur Jean-Paul Four est un taquin et un petit filou… je n’y ai pas coupé. Il m’a mis des pinces sur le sexe 2 fois d’affilée.
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La première fois, je les ai supportées sans problème. Ca a été. Et j’étais même fière de moi !
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La seconde fois s’est moins bien passée. Je pense pour trois raisons :
– mon sexe était encore endolori de la première pose
– j’avais dormi 1h tout au plus à cause d’une literie exécrable et le shooting photo était physique
– j’avais une violente migraine due au manque de sommeil…
Lorsque Jean-Paul Four m’a demandé de tirer sur les ficelles des pinces pour écarter mes lèvres, ça n’a fait qu’amplifier la sensation de douleur, moi qui déteste souffrir.
 
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Je ne supporte pas la douleur « volontaire », alors que je suis résistante au mal dans la vie de tous les jours. Je ne parviens pas du tout à rentrer dans un jeu de rôle de soumission autre que sexuelle. En BDSM, je suis Dominante. Résultat des courses, j’ai pleuré… Mais quelle honte ! Ça me l’avait déjà fait avec mon Chéri la première fois où il a tenté de me dominer et où il m’avait donné des coups de martinet. C’est l’instant où on aimerait devenir une petite souri et se fondre dans le décor, ne plus être vue et être oubliée immédiatement. J’ai été terriblement gênée de fondre en larmes comme… un gros bébé.
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Après, ça n’a rapidement été qu’un mauvais souvenir. Je suis bonnarde, je prends la vie du bon côté. Le pauvre Jean-Paul était bien embêté et ne pensait pas que je le vivrais aussi mal. On a fait une petite pause pour boire un coup et goûter. Il s’est montré très gentil et attentionné. Il a cherché mes limites, malgré le fait que j’avais mis la douleur physique dans mes interdits, et on les a trouvées. C’est toujours intéressant psychologiquement de se tester. J’aurai pu évoluer. Je fonctionne de la sorte, je vis mes propres expériences afin de juger mes limites, mes goûts, mes préférences… Je ne me fonde pas sur des préjugés mais je me base ainsi sur mon propre ressenti. On n’est jamais mieux servie que par soi-même !
 
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