[Exhib] Exhib et fellation à la forteresse

L’automne est particulièrement ensoleillé en cette fin octobre et on a un objectif en tête : la découverte cul-turelle de la forteresse de Mornas dans le Nord du Vaucluse. Si vous prenez l’autoroute A7, vous l’avez très certainement vue dominer la vallée du Rhône du haut de son éperon rocheux. On a fait de belles exhibes, des masturbations vues par un voyeur et une fellation coquine.

On a découvert la forteresse depuis la route en allant au camping du Ran du Chabrier l’an dernier. Le site capte le regard et interpelle. Seulement, ni mon Homme ni moi avons retenu le nom du village… Cette année, en allant faire la fermeture du Ran en septembre, j’ai pris soin de le mémoriser ! Et nous sommes partis en sexploration le dernier week-end d’octobre.

En préparant un peu la visite avant de venir, on a compris qu’il n’y avait pas grand’chose à voir. On est arrivés vers 11h et avons fait un premier tour de village. Il y a une belle allée de platanes bicentenaires ayant été plantés en 1811. Les ruelles sont entrelacées et les maisons sont pour beaucoup en pierres apparentes. C’est très mignon.

On ne manque pas de faire des exhib dans la rue, sous l’ancienne porte du château ainsi que sous… le passage des Soupirs. Ayant fait une exhib devant le Pont des Soupirs à Venise fin avril, on n’a pas résisté à l’envie de prendre la pause coquine !

Nous flânons et au détour de ruelles, on découvre ce qui devait être une vieille grange, un passage menant à la forteresse, un ancien puits. Concernant les exhib, il n’y a pas de grandes difficultés. Le village est vivant dans la rue principale, car il y a le marché. Dès qu’on s’en éloigne, les exhibes dans les rues sont très tranquilles.

Le tour du village se fait rapidement. J’ai essayé de glaner quelques points dans le tableau des sexchallenges en mettant un pull ajouré. On prend un verre et déjeunons au café. Mon Homme prend de la mousse de canard et un pavé de veau et moi, des ravioles poêlées en entrée, du boudin noir et de la saucisse en plat. Je me suis régalée mais il n’y a plus de place pour un dessert !

La promenade digestive n’est pas de tout repos, mais on s’amuse. Il y a une sacrée montée pour atteindre la forteresse ! Elle est très raide et exposée plein soleil. Par 22°, ça passe, mais je n’ose imaginer la suée en plein cagnard estival. On fait des pauses exhibes pour reprendre notre souffle ! Ca a débuté devant l’église N.D. de Valromigier datant du 12ème siècle et malheureusement fermée.

Puis, on fait une deuxième halte en croisant un chevalier au regard malicieux. Il semble terriblement s’ennuyer pendant son service de garde. Je propose à mon Aimé de faire des photos coquines rigolotes en mimant de le charmer… Il a résisté avec son bouclier ! On a fini par une belle vue sur le lieu à découvrir : la forteresse juchée à 137 mètres ! On est à mi-chemin.

Pour rendre la montée moins ardue, des stations avec QR codes permettent de découvrir le lieu de façon ludique. Un comédien chante, blague, raconte. C’est sympa. Nous arrivons enfin en haut. Tentés par un point de vue sur la vallée, il est à contre-sens de la visite numérotée. On reprendra le droit chemin après avoir exhibé mes seins et fesses face à la forteresse.

On revient sur nos pas pour visiter dans le bon sens. Le château de Mornas a été bâti en 982 sur un éperon rocheux qui domine la vallée. Il a ensuite été remanié au 12ème siècle et a été abandonné progressivement jusqu’à tomber en ruines. Des bénévoles l’ont restauré dans les années 1970-80.

Un siège trône dans la cour intérieur. Mon Aimé me propose que je m’assois et ouvre grand mes cuisses. Je m’exécute avant de me rendre compte qu’une tour avec des visiteurs nous fait face. Une dame se rince l’œil tout sourire en voyant que j’exhibe seins et sexe. Je le signale à MrSirban. Il m’assure qu’ils ne peuvent pas voir avec la perspective et que je me fais des idées… on découvrira par la suite en haut de la tour qu’on voit très bien le trône !

Une pancarte nous apprend que le trou dans les remparts correspond… aux toilettes des soldats ! C’est bien pensé car il y a même l’équivalent d’une « lunette » taillée dans la pierre. Ca permet d’asseoir son séant facilement. Il ne faut pas se trouver en-dessous par contre, car ça part directement dans la nature. Rassurez-vous, je n’ai pas utilisé le petit coin d’aisance. C’est juste pour l’exhib !

La découverte cul-turelle se transforme en sexploration coquine. Le long des remparts, mon Aimé me masturbe. Voir quelqu’un en haut de la tour m’excite fortement. Je suis trempée. MrSirban sort son sexe et je le masturbe à mon tour. Il a une belle érection. On est tous les deux très émoustillés ! On est surpris par un voyeur, qui filme ou prend une photo sans dire un mot. Oh oh !

Punie pour ne pas porter de culotte, Sieur Sirban m’enferme tout en haut de la tour du château. L’unique clef menant à la délivrance se trouve bien cachée dans ses chausses et c’est ainsi que je m’agenouille pour sucer le glaive du seigneur, du gland jusqu’à la garde, le trousseau étant caché au tréfond du fourreau ! Tout ça pour vous dire que… j’ai fait une pipe à mon Homme en haut de la tour !

Monter en haut de la tour se mérite, on y accède par une petite échelle ! Si vous ne voulez pas faire d’exhibes automatiques en montant et descendant, optez pour un short, une culotte ou un pantalon, sinon tout le monde aura une vue superbe sur votre sexe !

La visite cul-turelle s’achève bientôt. Face à l’ancienne chapelle se trouve un pilori et… comment ne pas faire d’exhibe au pilori ? C’est trop tentant ! On aurait bien mis la tête, mais on n’a pas voulu prendre le risque de tout casser. On s’est contentés des trous disponibles… n’y voyez rien de cochon ! MrSirban a placé son sexe, puis j’ai exhibé mes fesses.

On a adoré cette découverte cul-turelle. C’est très sympa. La visite de la forteresse est prévue en 30mn officiellement, mais entre les exhibes, les attente pour certaines photos coquines, la fellation en haut de la tour, les masturbations sur le chemin de ronde… on a mis 1h45 ! On a pris le temps de prendre le temps, on ne va pas se presser en week-end. On l’est suffisamment la semaine.