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J’exhibe mon porte-jarretelles à Cotignac

Après avoir faire des exhibes à la Cascade de Sillans, il est midi et demi. Nos estomacs commencent à se manifester. A cinq kilomètres se trouve un charmant petit village provençal, Cotignac. Nous prenons l’apéritif et déjeunons dans un délicieux restaurant. Suivez nos pérégrinations pimentées d’exhibitionnisme et de publicexhib jusqu’aux habitats troglodytes !

Le plan initial tombe à l’eau. On pense faire Sillans jusque 11h, déjeuner à Cotignac, visiter le village et faire une randonnée de 3h30 menant à une autre cascade. Seulement, on a fait les exhibes à la cascade à partir de 11h45 et on a papoté voyage et gastronomie jusqu’à 15h30 avec la restauratrice. C’est fichu pour la rando ! On visite le village en pimentant la sortie d’exhibes en porte-jarretelles à partir de la place de la Tour de l’Horloge.

Je m’assois sur le parapet et ouvre mes cuisses en dévoilant les attaches du porte-jarretelles à MrSirban. Derrière moi, on voit les habitats troglodytes à flan de falaise. La roche surplombe le village et donne du caractère. On découvrira par la suite que les visiteurs ont une vue plongeante sur les exhibes ! J’ai d’ailleurs été surprise par un couple d’une soixantaine d’années. La dame a tout vu et raconté à son mari. Cela les a fait sourire jusqu’aux oreilles.

On débute l’ascension menant aux grottes en la pimentant de poses coquines. Plus rien ne presse ! On s’arrête devant l’emplacement d’anciens moulins servant à presser les olives pour faire de l’huile d’olives. C’est très joli. J’enjambe le muret et pense m’allonger à moitié nue sur la pierre. MrSirban surveille la ruelle, quand il me prévient de me rhabiller rapidement.

Oups ! J’entends des voix. Je me redresse, cache mes charmes sous la robe et prends une pose classique : assise les jambes croisées. Une famille passe. On se salue. Elle est partie. Je m’agenouille sur le muret et cambre mes fesses devant le moulin. C’est trop beau ! Taquin, mon Homme ne me prévient pas qu’un couple arrive. Je ne sais pas s’ils ont compris ce qu’on faisait ou non !

On emprunte une calade pavée de pierres irrégulières. Je la monte en exhibant mes fesses à MrSirban. Finalement je ne regrette pas d’avoir gardé les baskets de marche. Je n’aurai pas pu faire l’ascension du Rocher de Cotignac en talons aiguilles. On arrive sur un terre-plein avec des premières grottes autrefois habitées. Nous apprenons sur un panneau explicatif qu’on y abritait hommes et bêtes, notamment des cochons ! Curieuse, je rentre à l’intérieur pour voir comment cela s’organise.

Un orifice dans la roche permet de voir entre deux habitats troglodytes. Mon esprit coquin fuse ! Je propose d’aller dans la seconde cavité pendant que mon Homme me photographie depuis la première. J’attends qu’une petite fille admirant des coquelicots rejoigne sa mère. Elle est partie, j’exhibe mes seins et mes fesses dans la grotte. Avec MrSirban, on communique par signe à travers le trou. Un groupe arrive. Je comprends que je dois me rhabiller. Une dame pointe son nez à côté de mon Aimé à travers l’ouverture.

Il n’y a pas de raison que je sois la seule à montrer mes fesses dans la grotte. MrSirban se prête volontiers à l’exercice et exhibe son sexe. Je l’avertis qu’une famille arrive très rapidement après qu’il ait commencé à se dévoiler. Il galère pour se rhabiller rapidement et fait mine d’admirer la cavité en tournant le dos aux gens. Ils ne s’attardent pas. On est seuls à nouveau.

D’un petit geste de la main, je fais signe à mon Homme de se retourner pour montrer son joli petit cul. Il baisse son pantalon et prend appui contre la paroi les fesses à l’air. C’est excitant. Je le regarde à travers le trou. Il n’a pas de chance. Plusieurs personnes arrivent : un couple, une famille, une mère et sa fille. Il rencontre le même problème et galère pour se rhabiller. Tout en reboutonnant le jean et en remettant la ceinture discrètement : « Oh ! Que la roche est belle ! Impressionnant cet habitat naturel ! ».

Nous quittons les lieux après s’être bien amusés à l’intérieur. On reprend le chemin de l’ascension des habitats troglodytes à flan de falaise. Il ne faut pas avoir le vertige. La grimpette est étroite et offre une vue plongeante sur… le vide. C’est très sympa à faire. On emprunte un étroit passage suivi d’un escalier en colimaçon en l’agrémentant de quelques exhibitions coquines.

Waouh ! Abrités par la roche depuis un promontoire, la vue sur le village et le Haut Var est incroyable. Dommage que le ciel ne soit pas azur. On est contents de visiter le village au printemps. Quand il fait 38° l’été, ça doit être un supplice. Ca grimpe sec. Instant cul-ture : le « Rocher de Cotignac » est haut de 80 mètres. Les cavités ont été utilisées après la déviation d’une cascade au Moyen-Âge.

L’ascension se poursuit. Je plafonne à 1m54, je dois me courber pour passer. Discrètement, je soulève la robe et dévoile mon cul nu. Oups ! Au bout de l’étroit passage se trouve une grotte. On retrouve des gens. Une jeune femme est figée contre la paroi et refuse d’aller plus loin. Elle doit souffrir de vertige. Le passage est à flanc de falaise et les rambardes permettent de voir l’apique.

Nous la dépassons et arrivons dans une grande salle troglodyte où quelques personnes admirent la structure. Le plafond est constitué de la roche. Il y a une belle hauteur. J’imagine que cela doit faire le bonheur des chauve-souris. La pièce date du Moyen-Âge. MrSirban a bien envie de voir mon porte-jarretelles. Je l’exhibe avec grand plaisir.

Nous empruntons l’escalier et découvrons une salle voutée. Elle aurait servi d’entrepôt. Ma robe se soulève jusqu’à dévoiler ma poitrine menue. Nous remontons à l’étage. Je m’attarde devant l’ouverture en exhibant mes fesses et le porte-jarretelles. La vue panoramique est très belle. Je remarque l’endroit où on a fait les exhibes à quatre pattes sur le muret ! C’est visible depuis là-haut !

Hissée sur la pointe des pieds pour mieux voir, je ne remarque pas les visiteurs remonter de la salle voûtée. MrSirban se garde bien de me le dire. Quel coquin ! Il s’agit d’un couple. L’homme a vu, pas sa femme !

La visite est terminée. Elle dure une petite vingtaine de minutes en prenant son temps. On rebrousse chemin en ré-empruntant l’étroit passage. Je n’arrête pas de me cogner la tête. Normalement, je passe partout ! De retour au village, je dévoile mon porte-jarretelles devant les glycines. On rentre à la maison sans se presser après avoir passé une journée géniale pimentée d’exhibes coquines à la cascade de Sillans, suivi d’un délicieux repas et de nouvelles exhibes dans le charmant village de Cotignac !


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14 commentaires sur “J’exhibe mon porte-jarretelles à Cotignac”