[Pegging] Et si on changeait de position ?

Samedi 19 juillet, nous débutons notre mois de vacances en amoureux. Pour bien le commencer, j’ai annoncé à mon Homme une séance de pegging le week-end précédent. Je sais qu’il aime se préparer mentalement pour le plaisir anal. Et si nous changions de position ? Je sodomise mon Mari en missionnaire sur le canapé pour faire varier les sensations !

Dans le tableau des sexchallenges 2025, MrSirban a glissé une ligne faisant perdre 60 000 points si je ne réalise pas de pegging dans l’année. Avec ce malus, il s’assure d’une sodomie deux fois par an ! L’anal n’est pas ma pratique favorite. Cela ne me rebute pas pour autant. Je me glisse dans une lingerie et des talons obtenus avec les sexchallenges 2024. J’ai besoin de me sentir extrêmement féminine pour devenir une femme phallique. L’excitation sera cérébrale et non physique me concernant.

J’enfile le gode-ceinture en sortant de la douche et le retrouve dans le salon. MrSirban est impatient. Il aime ces rares séances de sodomie. Le pegging cumule pour Lui trois sensations :

• l’excitation de la prostate ;
• la douleur de la pénétration anale ;
• l’humiliation d’être sodomisé par sa femme sans être bisexuel.

C’est à ses yeux « la pire des séances de soumission« . Pour changer, je lui propose de prendre une nouvelle position. Il appréhende. La sodomie en missionnaire est plus délicate selon son ressenti.

Je le prépare à recevoir le gode-ceinture en glissant un doigt dans son fondement. Il est particulièrement serré. D’habitude, je rentre facilement un index, suivi d’un majeur et d’un auriculaire. Cette fois, l’index seul peine à se frayer un chemin. Il grimace de douleur au moindre mouvement. Il supporte mal. Je prends le temps et remets du lubrifiant. MrSirban veut être pris au gode-ceinture rapidement. Je crains de le blesser et émets une réserve. Il insiste. C’est son petit trou après tout ! Je le sodomise en douceur.

Mon Homme ferme les yeux et s’abandonne au pegging. Il oscille entre plaisir et humiliation. Je ne manque pas de lui rappeler son statut de petite lope aimant se faire enculer par sa femme. Ses yeux vacillent d’excitation. Son corps convulse de douleur. Je prends le temps et observe la mélodie de son corps pour ne pas trop le faire souffrir. Le rythme lent permet d’appréhender la pénétration anale sans bourriner. Son coeur balance dans l’abîme des sensations prostatiques.

Je le masturbe en le pénétrant et empoigne ses jambes pour lui baiser le cul. Le rythme des allers-retours entre ses cuisses reste doux. Il est temps qu’il me regarde droit dans les yeux. C’est un ordre. Je sens l’humiliation grandir dans le regard de MrSirban. Pour augmenter son plaisir, je le masturbe. Etant petite, j’ai du mal à gérer correctement la pénétration et atteindre son chibre. Je lui demande de se caresser sans me quitter du regard. Il s’exécute en m’annonçant qu’il va jouir très rapidement.

Il empoigne sa queue d’une main et se branle. Mon gode-ceinture le pénètre profondément. Le gode est rentré intégralement. Il contracte ses jambes autour de ma taille pendant que je le sodomise en missionnaire. Son regard s’enfonce dans les méandres du plaisir. Il éjacule en quelques minutes une chaude salve de sperme sur son ventre. L’étreinte puissante de l’orgasme l’éreinte. Il me demande de me retirer rapidement. La douleur prend le pas sur le plaisir. Je m’exécute tout sourire. Il ne jouit pas analement.

Des six séances de pegging pratiquées, celle-ci est la plus rapide : dix minutes de la préparation à l’éjaculation contre une petite demi-heure d’habitude. Le fait de se masturber pendant que je le sodomisais à décupler l’excitation. L’orgasme est venu très rapidement. Après cela, le plaisir et la puissance de la jouissance l’ont éreinté.

Pratiquez-vous le pegging ? Quelle est votre position favorite ?

Ou bien cela ne vous tente pas ? Dites-moi tout !