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[Confinement J38] L’interdiction de jouir

Confinement, J38 ♥ Grand retour du soleil !

Il est 6h30 lorsque je m’éveille d’un profond sommeil réparateur. Une pointe de lumière transperce au-dessus des rideaux, j’ai espoir que le soleil ait réapparu après quatre jours de pluie. L’ouverture des volets me le confirme : la journée s’annonce magnifique et printanière. J’arrive au salon et salue mon Aimé, en train de prendre son petit-déjeuner. Comme chaque matin, il a préparé l’eau de mon thé. Aujourd’hui, il a cueilli du muguet et des roses du jardin pour embellir mon réveil. Mon Homme est une perle rare.

La matinée passe vite une fois encore. Le télétravail occupe bien nos journées, c’est d’ailleurs à cause de lui que je n’ai pas pu publier d’article pour la trente-septième journée de confinement. Il est déjà l’heure de déjeuner. Ce sera jambon cuit et butternut !  Une petite heure de pause et nous reprenons le labeur. MrSirban et moi apprécions vraiment le côté « télétravail ». Aucun de nous ne l’avait expérimenté avant et gagner pratiquement trois heures par jour en temps de transport, c’est un véritable confort.

En début de semaine, j’ai dégommé un pot de pâte à tartiner en omettant d’en proposer à mon Homme. Je n’ai aucune volonté face à la nourriture, un vrai ventre sur pattes ! D’ailleurs, la seule chose qui me manque réellement pendant le confinement, c’est aller au restaurant. Pour me faire pardonner, j’ai racheté trois pots, reçus aujourd’hui ! Je m’en tire bien. Il faut bien que je nourrisse mon fessier rebondi !

Une petite pause vers quinze heures me permet de faire quelques clichés printaniers au jardin.

Lorsque la journée s’est achevée, nous sommes allés dans la chambre. Mon Aimé m’explique que j’ai réussi le défi lancé la semaine dernière, dans lequel il me demandait d’entretenir des échanges What’s App réguliers avec trois amants, qui devaient lui envoyer une fois des photos coquines que je leur avais fait parvenir. Il me demande alors avec lequel des trois j’aimerais jouer là, maintenant, tout de suite. J’ai du mal à répondre, car je les apprécie tous les trois. Ils sont tous différents. Je donne un prénom.

MrSirban m’enjoint à m’étendre sur le lit, allongée sur le dos. Il me chevauche. Son sexe tendu se trouve à deux centimètres de mon visage, je ne résiste pas à l’envie de le prendre en bouche avec gourmandise. Il met quelques gouttes de lubrifiant et pose ses doigts à plat sur mon sexe en me demandant de venir me frotter comme une chienne contre sa paume. Je me frotte et masturbe mon clitoris en ondulant du bassin contre sa main immobile. C’est très excitant même si se frotter bêtement a quelque chose d’un peu humiliant en soi. Un doux plaisir autant physique que cérébral ! Il me doigte en glissant un doigt dans mon sexe ruisselant.

Je me fais retourner comme une crêpe et me retrouve allongée sur le ventre en moins de temps qu’il ne m’a fallu pour écrire cette phrase ! MrSirban s’immisce entre mes cuisses sans aucun ménagement. Aussitôt retournée, je suis déjà pénétrée. Bien cambrée, sa pénétration allongée sur moi est profonde et intense. Nos souffles se mêlent, nos corps se mélangent. Mon Homme souhaite varier et me prendre en cuillère. C’est une position qu’il affectionne particulièrement. Il masturbe mon clitoris tout en me baisant jusqu’à ce que je jouisse de tout mon saoul.

Désormais sur le dos, les cuisses grandes ouvertes maintenues fermement par les chevilles, mon Chéri me doigte de nouveau avec deux doigts désormais. Sa main fait des allers et venues d’intensité parfaite, ni trop rapide, ni trop lente, ni trop forte, ni trop douce. Il a du doigté ! Il m’interdit alors de jouir et fait tout pour me faire craquer. Je me concentre et fais tout pour penser à autre chose qu’au plaisir ressenti. Mon tendon d’achille me fait un peu mal ce soir et je me focalise là-dessus.

Par deux fois je supplie mon Homme d’accepter de me laisser jouir. Par deux fois, il refuse et fait tout pour que je cède. Il m’interdit de regarder autre chose que son visage ou son chibre me pénétrant vigoureusement. J’adore être pénétrée et regarder un sexe me pénétrer. Voir la queue faire des allers et retours dans ma petite chatte et associer les sensations charnelles au sens de la vue, je trouve cela très excitant. Tenant mes chevilles à la main, je me concentre sur la tendinite, qui élance un peu plus que les jours derniers. C’est la seule chose qui me permet de résister, une lancinante douleur. Rien d’intenable, mais assez pour retenir l’orgasme. Heureusement que j’ai joui avant, mais j’ai beaucoup de mal à retenir l’orgasme.

Après une dernière tentative pour me faire craquer en masturbant mon bouton de plaisir, MrSirban jouit sur mon pubis une chaude giclée. J’ai trouvé particulièrement excitant de devoir me retenir de jouir et de tenter de contrôler le flot de sensations qui précède l’orgasme. Il est rare que je supplie par fierté, mais par deux fois, j’ai bien cru céder. Nous avons terminé la soirée de la plus douce des manières, l’un à côté de l’autre sur le canapé. On se régale toujours autant d’être confinés, dix-sept ans d’amour fusionnel et passionné qui se confirme chaque jour davantage.


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