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[Confinement J6] Une bonne levrette au lit

Dimanche 22 mars, la nuit a été meilleure que la précédente et le temps est tout aussi printanier que la veille. Je me réveille doucement en lisant Jack Ketchum, Saison de Mort, tout en buvant mon thé. MrSirban vient me caresser la poitrine, mais je ne suis franchement pas du matin et j’ai tout d’un ours ou d’un gremlins lorsque je sors des bras de Morphée. J’aime émerger tranquillement. A ce qu’il paraît je grogne ma désapprobation, alors que j’ai souvenir d’avoir dit « pas si tôt, je me réveille » !

Je bascule sur le canapé pour jouer sur la Xbox à The Elder Scrolls Online. J’adore les jeux de rôle médiévaux fantastiques, les MMORPG et RPG pour les gamers. J’ai longtemps joué à WOW d’ailleurs, mais c’est très chronophage. Si vous aimez ce genre de jeux et n’y avez pas encore joué, je vous conseille grandement The Witcher. Il est magique !

 

Je geek nue sur le canapé au moins deux bonnes heures avant de décider qu’il est grand temps de suivre les conseils du kiné pour me débarrasser de la tendinite, vu que je ne peux plus faire de séance. Tous les rendez-vous ont été annulés à cause du Coronavirus. Il m’a demandé de recommencer le sport lorsque je ne peux pas faire de séance d’ondes de chocs. La dernière remonte à lundi et ce matin, mon tendon se fait presque oublié. Je tente !

Pour une reprise, je mets la résistance assez doucement. Je ne monte pas plus de 4 niveaux sur 12. Habituellement, je la mets à 7. Je me contente de trente minutes contre quarante cinq quand tout va bien. Je n’aime pas porter de vêtements lorsque je fais du sport. Si jamais je transpire, je préfère que ce soit sur ma peau nue plutôt que concentré dans des tissus. D’ailleurs, mon Homme pratique également le vélo elliptique nu ! Il trouve cela plus confortable. Après un mois et demi de canapé et d’activités physiques inexistantes, je suis surprise de voir que je ne ressens aucun essoufflement, aucune courbature. Juste des fourmillements dans le tendon.

Après une bonne douche, nous déjeunons au jardin. Le temps est printanier avec plus de 22° sans vent.

Après le repas, mon Homme me convie à le rejoindre dans la chambre. Cela fait désormais sept jours qu’il ne m’a pas prise et m’a interdit de jouir. La dernière fois où j’avais pu m’abandonner à l’orgasme, c’était dimanche dernier, soit le 15 mars 2020. Le message est clair : si je souhaite qu’il me prenne et jouir, il va falloir que je le supplie. Après l’avoir sucé à genoux entre fellations et gorges profondes « contraintes », je me plie à sa volonté et accepte de le supplier. Mes reins sont embrasés d’un désir ardent qu’il ne comble pas et je le désire tellement entre mes cuisses que je joue le jeu.

Bien cambrée sur le lit, je lui dis clairement que je veux sa queue : je veux ta queue, prends-moi, je t’en supplie, donne-moi ta bite, je t’en prie. MrSirban claque mes fesses, caresse mon clitoris et fait durer le suspense. Il me demande si je mérite sa queue. Je prêche pour ma paroisse en lui disant que j’ai été très docile et obéissante et que je pense mériter sa bite.

Il souhaite que j’écarte ma petite chatte de mes mains. J’ouvre mes fesses pour lui offrir une vue plongeante sur mon intimité. Je continue mes supplications. Il accepte de répondre à ma demande et décide de plus me frustrer.

Au début, il m’interdit de jouir mais me demande d’être chienne. Je Lui explique que c’est incompatible et que je me présente comme un trou à baiser, un garage à bites, pour le soulager, mais je ne pourrai pas être plus expressive si je dois me retenir encore. J’aurai beaucoup de mal à être dans l’abandon et le lâcher-prise si je ne peux pas jouir. Je reste très concentrée. Il me libère d’un poids en me disant de me lâcher, d’être moi-même.

Deux allers-retours plus tard, je jouis de tout mon saoul. J’en pleure d’extase. Des larmes embrument mes yeux et roulent sur mes joues rougies de bonheur. Mon corps ne cesse de vibrer. Mes poings agrippent les draps tant l’orgasme est puissant. Je sens une éjaculation vaginale, ma petite chatte se noie sous l’orgasme jusqu’à perler sur mes lèvres.

Je m’effondre éreintée par une telle jouissance. MrSirban me prend sans ménagement. Il ne me fait pas l’amour mais me baise. Ses mains s’abattent avec vigueur sur mes fesses jusqu’à faire rougir le cuir de ma peau. Ses pénétrations sont fougueuses, viriles et profondes. Il ne me ménage pas et j’adore cela. Nous changeons de position et basculons en missionnaire.

Je tiens mes jambes écartées pour l’accueillir à nouveau en moi. Il me demande ce que je suis : « un garage à bite« , et qu’est-ce que je veux : « ta bite« . Il me fait répéter ces mots une dizaine de fois avant de me pénétrer à nouveau cuisses grandes offertes. Les genoux remontés sur ma poitrine, seul mon sexe trempé d’orgasme est disponible. Je tiens fermement mes pieds et chevilles pour qu’il puisse avoir un accès libre à ma chatte. Il me baise ainsi en appui sur mes cuisses et me prend très profondément, je le sens me combler jusqu’aux tréfonds de mon être.

Mon Aimé finit par jouir sur mon sexe après m’avoir fessée une dernière fois. J’ai adoré cette semaine de frustration et d’interdiction de jouir, car ça a été le fil conducteur d’un jeu tout à la fois charnel et cérébral. Libérée ! Délivrée ! J’ai enfin pu m’abandonner ! Après sept jours, j’ai joui et ça a été l’extase espérée. Après ce corps à corps torride, nous nous sommes blottis dans les bras l’un de l’autre amoureusement. Mon Homme avait également très envie d’être en moi et en me frustrant il l’a été tout autant ou presque !


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