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[Venise] Exhib coquines ultra-touristiques 2/3

Après avoir arpenté les canaux au fil de l’eau précédemment, je suis sûre que vous êtes curieux de voir nos autres exhib à Venise au regard du monde présent sur les lieux touristiques. Suivez la guide coquine, vous allez en prendre plein les mirettes !

  • Vers l’infini et au-delà : le campanile

On a atterri dans la matinée et avons visité dès le premier jour. Après déjeuner, on flâne autour de la Place Saint Marc. On a réservé sur les sites internet des monuments nos visites et on est en avance. Comme d’hab’ ! Je vous conseille très vivement de programmer vos créneaux pour ne pas faire 2h à 3h de queue et c’est sans exagérer. On débute par le campanile.

Tout ce secteur est blindé de monde. Les exhib sont ultra publiques. Je dévoile mes seins un peu crispée pensant faire un flashing furtif, mais mon Homme me lance le défi d’une exhibe longue. Je me prête au jeu – tendue et excitée. Je dévoile mes charmes mais ce fichu pull retombe ! Je dois le rouler pour qu’il tienne, ce n’est pas discret mais le challenge est relevé et MrSirban me félicite.

Mon pull coincé, on change de lieu d’exhib car le précédent est désormais occupé par d’autres touristes ! Il y a une rotation pour qu’on profite tous des points de vue depuis la Tour. On culmine à 98 mètres. Elle date de 1912 après que la précédente érigée en 888 se soit effondrée en 1902… et a priori ce n’est pas parce qu’elle penchait comme tant d’autres en ville !

  • Sur la grand’place : exhib publique en deux étapes !

Aux grands défis de l’exhibe, la progression s’impose ! On a tâté le terrain pour une exhibe coquine Place S. Marc vers les 19h. Une partie de la foule de touristes s’évapore en fin de journée. On privilégie à nouveau le temps long de l’exhibe plutôt que la furtivité du flashing. On commence à ses pieds… après avoir attendu qu’un garde du palais me faisant face s’éclipse !

Je me suis pomponnée pour une soirée en amoureux en assortissant la jarretière des nylons à la robe ! La place reste animée et la police patrouille (4ème photo ci-dessous, avec la flèche). On arrête les exhibes publiques. On est restés une dizaine de minutes à arpenter la place seins et sexe à l’air. J’ai une montée de stress craignant qu’ils nous aient vus via les caméras de surveillance.

Le sexchallenge d’exhib sur la Piazza est corsé. Il faut rester vigilant à chaque instant. Je ne suis pas particulièrement satisfaite des premières photos coquines en robe. On ne les a pas faites dans les règles de l’art en optant pour un horaire plus calme. On a le goût du risque et je suis joueuse. Je propose à mon Homme de recommencer en pleine journée au maximum du tourisme de masse.

Défi relevé ! C’est quand même mieux quand c’est osé, non ? J’ai le goût du challenge et c’est sans doute pour que cela que MrSirban a eu l’excellente d’idée d’inventer un tableau de défis coquins en 2014, qu’on réactualise chaque année depuis.

  • Dans le palais : entre prisons et chancellerie

Le palais est d’une éblouissante magnificence avec des dorures des murs aux plafonds ornementant des peintures de Maîtres (Le Tintoret, Véronèse, Palma le Jeune…). Il a été construit dès 1340 et habité jusqu’en 1797. On n’a pas pu faire d’exhib dans les salles principales de plus de 1300m², car on est en rang d’oignons, les uns derrière les autres, et c’est très surveillé.

Par contre, on a fait plusieurs flashing dans la partie « administration », la chancellerie. On a réussi à en glisser une dans la prison de Casanova après avoir écouté l’histoire de son évasion – certainement romancée – ! Il existe deux types de prisons : celle sous les toits, où on crève de chaud l’été (les plombs) et celle près de la lagune, insalubres et humides. Aucune des deux n’est enviable.

Pour ces exhibes au palais, on a fait les mauvais élèves en marchant à la queue du groupe. Ce qu’on n’a pas intuité, c’est qu’une dame et son fils d’une vingtaine d’années feraient de même… Ils ont failli nous surprendre plus d’une fois ! On se retrouvait fréquemment à marcher vite tous les quatre en rigolant pour rattraper le retard pris sur le groupe.

On a été éblouis par la beauté du palais. Seul bémol : un monde de dingue. On s’est retrouvés dans la masse touristique à être embouteillés à pieds pour traverser le pont des soupirs. C’est le seul lieu où on a eu ce soucis. Par contre, on n’a pas fait les 3h de queue pour le visiter car on avait réservé !

  • Le pont marchand : progressivement puis un flashing !

On a fait les exhibes progressivement avant de tenter un flashing sur le pont marchand. On tourne autour en l’admirant. MrSirban repère un point de vue sur le pont depuis… un autre pont. Il y en a 438 à Venise. Je pense exhiber ma petite chatte lisse sauf que cette fichue jupe en jean fait sa princesse et ne se retrousse pas facilement ! Comme le pull, elle ne coopère pas.

On trouve deux autres endroits pour faire des photos coquines, d’abord d’un côté, puis de l’autre. J’abandonne l’idée de remonter la jupette capricieuse même si montrer les seins attire davantage le regard. Le pont du Rialto est un pont bâti avec trois allées. L’allée centrale a de nombreuses échoppes. En haut du pont, il y a un carrefour permettant d’aller d’une allée à l’autre.

C’est blindé de gens ! On ne pense pas faire de flashing. L’idée germe après le repas lors d’une balade digestive. J’ose en faire deux face à la foule monstrueuse et continue. Mon Homme a été très fier que j’aie osé cette exhibe publique. Même moi, j’avoue !

  • Deci-delà : visite coquine en exhib

Direction la plus petite rue de la ville : Calle Varisco dans le quartier du Cannaregio. Elle est mignonne avec ses 52 centimètres de large. Vue l’étroitesse de la voie, on ne se croise pas et cela oblige à patienter pour l’emprunter. Si vous avez abusé de pizzas et de tiramisus pendant le séjour, vous risquez de passer de biais !

On a également immortalisé le célèbre Pont des Soupirs vers 17h30. On a juste réussi à faire cette unique photo. On ne  dirait pas, mais je vous assure que c’est un flashing très public. Face à moi, un pont me fait face et il est chargé de monde, chacun voulant immortaliser celui des Soupirs. La police le surveille également de près car il jouxte le palais.

En rejoignant un restaurant après l’apéritif, on a figé le coucher de soleil sur la lagune. Cet instant d’éternité où la ville se pare de mille flamboyances d’ocres, de safran et d’ambre. Quand un voile de quiétude se pose sur la trépidante Sérénissime, sous l’emprise de la masse en journée, et si calme en soirée. Je comprends l’amour des gens pour cet endroit. Je partais pleine de préjugés négatifs. Je suis conquise ! Et mon Homme connaissait déjà et a davantage apprécié que dans ses souvenirs.

Mon Aimé a été surpris que j’ose des exhibes à Venise aussi publiques. C’est rare, mais je suis assez fière de moi car – hormis avec le pont des Soupirs ou sur le Rialto, où on a privilégié le flashing furtif, tous les autres clichés ont été pris sur plusieurs minutes. On n’a pas filmé pour maintenir la vigilance vis-à-vis des familles. Le prochain article sera sur la gondole coquine !



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