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[Exhib] A Marseille, sans culotte au château d’If – 2/2 –

Je fais suite à l’article précédent, dans lequel on découvrait l’île d’If au large de Marseille, après vingt minutes de navigation. Ayant décidé de faire la visite à contre-courant pour l’agrémenter d’exhib, nous n’avons découvert l’intérieur du château qu’après ! Nous avons été surpris par… sa petitesse ! Contrairement au Tardis (clin d’œil à la série Doctor Who), il semble plus grand de l’extérieur. La forteresse a été construite sous François Ier et les murs sont particulièrement épais, ceci explique peut-être cela… Mystère !

On partait dans l’idée d’une certaine retenue à la base et on n’avait pas spécialement envie de faire des coquineries dans le château. La forteresse a hébergé de nombreux prisonniers politiques, comme le Chevalier Anselme, accusé d’avoir comploté contre la royauté, plus de trois mille protestants arrêtés pour leur Foi, le comte de Mirabeau ou encore plus de trois cent hommes accusés d’avoir participé à la Révolution de 1848. Par moment, le château a abrité jusqu’à cent cinquante détenus en même temps et vu la configuration, ils devaient être méchamment à l’étroit. Les conditions d’hygiène devaient être déplorables. Seulement, le gros de la visite tourne autour du roman d’Alexandre Dumas et la réalité s’entremêle à la fiction jusqu’à semer le doute. Je pense que beaucoup de gens sont sortis du château d’If convaincus que l’abbé Faria avait vraiment existé ! Ils ont été jusqu’à reconstituer le trou par lequel le comte de Monte-Cristo se serait échappé. Ce point a particulièrement dérangé MrSirban qui a trouvé l’oeuvre romanesque trop mise en avant. Partant de ce principe, on a visité à notre manière : les fesses à l’air et la bouche en coeur !

Nous avons mêler notre fiction érotique à ce lieu chargé d’histoire. On s’amuse à faire un jeu de cache-cache coquin. On surveille chacun de son côté, on tend l’oreille et malgré cela, nous sommes régulièrement à quelques secondes d’être surpris en pleine exhibe. Les visiteurs s’entassent de cellules en cellules, font vite le tour. J’ai eu la bonne idée de mettre une robe pratique et idéale pour les coquineries. Observant la cour et les visiteurs à travers des barreaux, j’exhibe mes fesses à MrSirban qui les photographient et les caressent à tour de rôle. Il me met une bonne fessée qui résonne étonnamment fort dans la geôle. Niveau discrétion, on oublie ! Le bruit est explicite, d’autant qu’un petit gloussement de surprise l’a accompagné !

Il y a beaucoup de monde. Les touristes font comme nous et se promènent de geôles en geôles, lisent les quelques panneaux historiques disséminés déci-delà pour connaître l’histoire des lieux, qu’elle soit réelle ou romancée. Il y a un sacré va-et-vient et on reste rarement seuls plus de quelques secondes ! Je suis parfois encore en train de rabaisser ma robe lorsque les gens arrivent. Cela fait deux ou trois minutes que nous sommes tranquilles. Personne ne vient visiter la cellule où nous nous trouvons… Celle de l’Homme au Masque de fer.

C’est particulièrement excitant d’être ainsi sur le fil. L’envie de passer à la vitesse supérieure nous titille avec mon Aimé. Mrsirban glisse sa main entre mes cuisses et masturbe mon clitoris en pleine prison. Sa main connaît parfaitement l’intensité à laquelle il faut appuyer sur mon bouton de plaisir pour me faire jouir rapidement. Je tressaute de plaisir et finis par avoir un orgasme à la vitesse de l’éclair. Mes jambes flageolent d’excitation. On pense avoir trouvé un coin relativement tranquille.

J’ai très envie de goûter mon Aimé derrière deux caisses entreposées dans la pistole de l’Homme au Masque de Fer. Il s’agit d’une geôle individuelle payait par les prisonniers pour la privatiser. Elle offre une vue magnifique sur l’île et est plus spacieuse que cachots collectifs. Accroupie, j’attends qu’il se déshabille et sorte sa belle gourmandise.

Ni une, ni deux, aussitôt son sexe sorti, je m’en délecte et le suce avec bonheur. Fellations et gorges profondes s’enchaînent le temps de quelques allers-retours. Nous entendons des visiteurs arriver. On continue jusqu’au dernier moment. J’ai à peine le temps de me relever, rabaisser ma robe. Mon Homme tente de ranger son sexe érigé dans son pantalon le plus rapidement possible. Les gens sont déjà là. Une petite goutte de plaisir perle sur le tissu. J’essuie du tranchant de la main quelques gouttes de douceur restées à la commissure dees lèvres. Il était moins une !

L’heure d’affluence semble être… maintenant. Nous n’arrivons plus à trouver de moment tranquille pour reprendre nos activités lubriques et coquines ! Nous faisons la toute dernière exhib sur la terrasse du château d’If. Depuis la tour Saint-Jaume, on aperçoit Notre-Dame-de-la-Garde veiller sur la forteresse. Le flashing se fait sous le nez d’un Monsieur, qui je crois bien n’a rien vu, perdu dans sa lecture du plan donné à l’accueil. Il nous a cependant demandé un mouchoir quelques minutes après… Bizarre, bizarre non ?

Ainsi s’achève notre visite coquine et exhib de l’île d’If et de son château. Nous avons été décontenancés par la tournure culturelle amenée à  cette prison-forteresse, puisqu’elle repose au moins pour moitié sur le roman d’Alexandre Dumas. Heureusement que nous l’avions lu et avions vu les films, sinon on serait passés à côté de la découverte des lieux ! C’est sans doute plus lucratif de mettre en avant une oeuvre romanesque que de narrer la vie des prisonniers politiques et religieux d’une époque. Nous sommes ensuite allés sur l’île de Pomègue et de Ratonneau pour découvrir deux autres îles de l’archipel du Frioul. Cette journée insulaire a été vraiment géniale !


Redécouvrez notre visite de l’île d’If, la première partie

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