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[Haute-Savoie] Exhib à Chamonix et flashing public

Comme je vous l’expliquais précédemment, nous avons annulé nos vacances au Cap d’Agde courant avril et nous avons préféré prendre nos congés à la montagne. Direction la Haute-Savoie ! Après avoir passé la première journée à Mégève (lire l’article), nous avons pris la route vers Chamonix Mont-Blanc. Si mon Aimé connaît déjà les lieux pour y avoir passé une partie de ses vacances estivales enfantines, c’est une grande nouveauté pour moi ! Je ne suis jamais allée plus haut que Saint-Larry-Soulan dans les Pyrénées, au Pla d’Adet à 1700 mètres.

Nous arrivons à Chamonix pétris de préjugés. On a choisi la ville plus pour son accès facile à l’Aiguille du Midi, que pour la villégiature. On appréhende un peu de voir un lieu dénué d’intérêts. On file déposer nos valises, se péter le bidon déjeuner, puis nous allons récupérer nos « Passes Mont-Blanc » au guichet du téléphérique. Nous sommes surpris de constater que nous avions tout faux.

La petite promenade dans le centre-ville nous plaît franchement. Le charme opère. C’est certes moins « mignon » que Mégève. Fini les petits chalets de bois, les constructions sont plus classiques, voire carrément modernes. Certains bâtiments officiels sont même vilains. Mais c’est tellement plus vivant et pétillant, qu’on s’y sent vraiment bien et on a hâte de découvrir le coin plus en détails. Ça tombe bien, on y reste plusieurs jours.

Je vous invite à nous suivre pour une visite guidée et coquine de Chamonix. Le village est traversé par la rivière Arve et c’est là que nos exhib en ville ont commencé en cherchant un petit lieu sympa où prendre un verre. La rivière est impressionnante, son débit est fort et sa couleur est turquoise. On ne peut pas rester indifférents.

Nous avons traversé un pont de bois fleuri des plus mignons et l’envie d’être coquine a été la plus forte. Nous n’avons pas résisté à faire quelques flashing publics malgré que les terrasses soient bondées. Une petite rue borde les eaux tumultueuses. On y trouve nombre de petits bistrots sans prétention et petits restaurants. C’est devenu notre QG jusqu’à la veille du départ. Il y a du monde, c’est animé et l’ambiance est à la bonne franquette.

Partout où nous regardons, la ville est engoncée aux pieds des montagnes et lorsque notre regard se porte vers le Sud, il ne peut qu’embrasser le Glacier des Bossons surplombés par des monts culminants à plus de 4 000 mètres (Mont-Blanc, Mont-Blanc du Tacul, Dôme du Goûter…) ou les avoisinants, comme l’Aiguille du Midi. Bien que nous soyons fin juillet, les neiges sont éternelles, comme le souvenir qu’elles laisseront dans nos mémoires. C’est juste superbe !

Nous sommes restés quatre jours à Chamonix. Nous n’avons pas trouvé le temps de nous ennuyer un seul instant et avons bien profité culinairement parlant de la Tartiflette, de la Reblochonnade, des planches de charcuteries et de fromages… Durant plusieurs jours, je n’ai pas vu passer l’ombre d’un légume ou d’un fruit. Vous savez quoi ? C’est bon les vacances quand on est gourmands ! On a manqué de temps pour faire du parapente ou des randonnées « faciles » ne sollicitant pas trop les tendons.

La toute première ascension du Mont-Blanc a été réalisée en 1786 par deux habitants de Chamonix : Jacques Balmat, chasseur de chamois devenu guide de haute-montagne, et Michel Paccard, médecin et bonatiste. Nous avons vu deux statues à leur effigie. La première représente les deux compères et nous il a été impossible de faire une exhib devant. On a attendu plus de cinq minutes qu’il n’y ait plus aucun enfant dans les parages et ça n’est jamais arrivé ! Nous avons donc renoncé. Toutefois, nous avons pu faire plusieurs exhib publiques devant la statue représentant Monsieur Paccard. Les deux monuments ont la particularité d’avoir les visages tournés vers le Mont-Blanc en hommage à leur ascension à une époque où la Haute-Montagne était encore plus inaccessible que maintenant et les dangers encore plus grands.

Pour la dernière soirée, j’ai opté pour une petite robe rouge assez sexy (malgré mes horribles tatanes de tendinite) et mon collier « Hotwife« . J’ai posté la tenue sur les réseaux sociaux en montrant où nous nous trouvions, mais le hasard n’a pas permis de rencontrer de followers ni de faire de rencontres coquines imprévues avec un inconnu !

C’est tout le charme des plans hotwife, on ne les programme pas et on laisse faire le destin sans le forcer. Si une rencontre inopinée doit se faire, elle se fera. Sinon, le hasard sonnera à la porte une prochaine fois ! Je n’aimerais pas qu’elles deviennent faciles ou régulières et le fait d’être prête à accueillir cet imprévu est en soit excitant, car une journée normale peut basculer en partie coquine sans qu’on ne l’anticipe.

Nous avons passé la dernière soirée à flâner en ville après avoir pris un cocktail dans la rue longeant la rivière Arve. On ne se lasse pas de la vue sur le massif. On a comme un goût de « reviens-y », persuadés de ne pas avoir fait le tour de Chamonix. Nous reviendrons à n’en pas douter tant nous avons été charmés par le lieu et les possibilités de promenades qu’il offre. Les jours qui suivront seront consacrés à la haute montagne. Nous sommes allés au sommet de l’Aiguille du Midi, ainsi qu’à la Mer de Glace. Vous le découvrirez dans le prochain article !


 

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