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[Lanzarote] Deci-delà : exhib on the moon !

Nous sommes restés quatre jours pleins sur l’île de Lanzarote avant de s’envoler pour cinq jours à Gran Canaria, plus au Sud ! On a occulté les plages, on a juste été en voir une de sable noir par curiosité. On vit à côté de la Méditerranée, on n’est pas en manque de mer. On a également visité Puerto del Carmen, mais la station balnéaire ne nous a pas inspirés outre mesure pour y faire une série d’exhib. On est contents d’avoir visité Lanzarote en période pandémique, car il y a 50 % de tourisme en moins qu’à l’accoutumée et pourtant… c’est loin d’être vide de vie. Au contraire. Les exhib sont pensées en fonction des gens pour ne pas les heurter. On doit parfois prendre notre mal en patience avant de réaliser un flashing.


On a marché sur la lune, exhib cosmique !

Après avoir fait la route des volcans le premier jour (lire l’article), on a déjeuné dans une gargote où visiblement, le poisson frais ne l’était pas. Ma nuit a ressemblé à Game of… Trône ! Ayant une colopathie fonctionnelle, je suis fragile. On traîne jusque dix heures dans la chambre. Mon organisme essaie de solutionner le problème. Je suis exténuée mais j’insiste pour sortir. On part à une vingtaine de kilomètres de l’hôtel, histoire de rentrer vite si j’ai surestimé la force de mon estomac et de mon sphincter (amis du glamour, bonjour !) ! Il y a un soucis réel à Lanzarote : les accotements sont quasi impossibles à cause des champs de lave en bord de route. Arrêter la voiture sur le bas côté en cas de problème est… un problème en soi !

La route offre un paysage sorti tout droit d’un film de science-fiction. De la Terre à la Lune ! MrSirban remarque de drôles de formations grises anthracites se détachant du paysage. Il s’agit des Antigua Rofera ou Mataburros. Des personnes sont d’ailleurs garées sur le parking pour les admirer. On en fait le tour en quinze minutes. Les roches sont étonnement friables. On en a fait tomber juste en les touchant et le sol est composé de ce matériau. C’est une ancienne carrière d’extraction de lapilli, des morceaux de lave éjectés par les volcans et agglutinés. Ils permettent de fabriquer le gravier. Le décor est lunaire, j’ai l’impression d’avoir mis mes fesses en orbite sur la Lune ! Fly me to the Moon

Je suis sereine en pleine exhib l’esprit parti sur une autre planète, heureuse d’être à demi-nue sur la lune, quand MrSirban me jette un regard angoissé signifiant « Y a du monde ». Je me rhabille vite faisant mine d’observer le paysage. Les gens sont venus faire des incursions dans « notre zone 51 d’exhib », on joue à cache-cache avec eux en se dissimulant derrière les formations rocheuses. J’ai juste des crampes de ventre de malade, mais j’ai vraiment envie de faire une série d’exhib complète avec vidéo coquine. Le lieu est tellement original. Sauf qu’une famille arrive et escalade le sommet des roches. Et patatra ! Cela met un terme à nos desseins exhibitionnistes, on ne veut prendre aucun risque à ce niveau.

On poursuit l’exploration sagement, mes fesses et mes seins bien au chaud sous le gilet et la robe. C’est qu’il fait encore frisquet ! Voyant qu’ils ne reprennent pas leur voiture, on abandonne définitivement le projet ! On a quand même pu faire quelques photos coquines lunaires. On remonte dans la Fiat 500 direction… le jardin des Cactus cette fois !


Flashing piquant au jardin de cactus

Le jardin des Cactus est la dernière création de l’artiste Cesar Manrique. Elle date de 1990, deux ans avant sa mort. On ne l’a pas programmé dans nos visites. Je n’aurai pas eu mal au ventre, on n’y allait pas. Cela aurait été dommage. C’est un jardin botanique circulaire. On a cru qu’il serait impossible d’y réussir la moindre exhib. On a joué de rapidité, chaque flashing peut être vu depuis n’importe où dans le parc ! On a compté sur le fait que les gens voient rarement ce qui se passe sous leurs yeux.

Je tente une exhib un peu timide car le fait de ne pas contrôler qui va voir le flashing me dérange. C’est le retour de Miss Flippette ! On prend le temps d’observer les spectateurs potentiels. MrSirban me met en confiance. Lui regarde sur les côtés et derrière moi. Je suis vigilante sur les gens face à moi. On ne remarque pas d’enfants à l’horizon, le créneau est bon ! J’ouvre grand mes cuisses offrant mon intimité déculottée assise sur un petit muret. Une dame comprend le petit jeu et sourit, amusée.

Une seconde exhib public dans le parc est repérée par un Monsieur à lunettes. Il a sans doute été attiré par le mouvement que j’ai fait en baissant la robe pour dévoiler mes seins pendant qu’il observait un cactus de forme phallique ! Il s’est retourné à plusieurs reprises pour voir si on réitérait des exhibitions. Cela n’a pas semblé lui déplaire, bien au contraire. C’est sans doute cela que nous appelons l’ironie du sort… Le gars regarde un cactus en forme de zizi et en levant la tête, voit mes petits lolos !

Le jardin circulaire permet de voir 4500 cactus de 450 espèces différentes. Certains ont des formes amusantes, d’autres sont mignons, impressionnants, beaux… Chacun trouvera un cactus à son goût. J’ai remarqué que les « coussins de belle mère » avaient la même forme que mes fesses rebondies ! D’ailleurs, on a eu chaud aux fesses pour cette exhib, car une dame est arrivée au moment où je soulevais la robe. Nous avons fait le tour du jardin et terminé la visite par la montée au moulin à vent. Les gens font des photos souvenirs familiales et MrSirban me lance un défi d’exhib coquine très publique ! Je prends mon courage à deux mains, car en face de moi se trouve le moulin en question avec des gens entrant à l’intérieur et sortant.

La promenade terminée, nous avons déjeuner dans les vignobles de la Geria. Ils sont circulaires eux-aussi ! L’intoxication alimentaire me fait mal au ventre et le repas me fatigue. Je n’ai pas la tête à faire des flashing. On rentre à l’hôtel se reposer. Les vents alizés soufflent en permanence et chassent le mauvais temps dans les terres. Il fait dans les 28/29° en bord de mer. On a testé l’Atlantique, mais à 19°, c’est trop froid pour les Sudistes que nous sommes. On a privilégier la piscine à 28° !


Exhib souterraines à Cueva de los Verdes et Jameos del Agua

Dernier jour de découverte et comme chaque matin, il fait beau en bord de mer mais le temps change dès qu’on s’enfonce dans les terres de 10/12km. Nous montons à l’extrême Nord de l’île pour visiter le Mirador del Rio. Il y a un brouillard épais associé à du crachin et du vent. La visibilité de l’île de la Graciosa est quasi nulle. On ne fait pas d’exhib, car… il n’y a personne et c’est moins drôle ! On prend la route de Cueva de Los Verdes, un tunnel de lave aménagé pour la visite sur 1.5km.

J’ai fait deux exhib à l’entrée de la Cueva de Los Verdes. Le tunnel de lave est comme une grotte. Les éclairages sont minimalistes pour préserver l’atmosphère du lieu. Vous n’auriez pas vu grand’chose, les flashes sont interdits… mais on a osé le flashing public dans un groupe de cinquante personnes ! C’est une visite guidée obligatoire dans un dédale de lave creuse. Il faut parfois se courber pour passer sans se cogner. Quand MrSirban m’a vue dévoiler ma poitrine en public, il a eu une montée de stress et m’a chuchoté : « Tu fais quoi là ? On ne peut rien faire ici ! ». On s’y est repris à plusieurs fois pour ces photos coquines d’exhib dans la grotte, d’autant plus qu’on était à contre-jour ! La visite est très intéressante et dure environ une heure.

Le tunnel de lave est un des plus longs au monde et s’étend sur huit kilomètres, mais seuls deux accès sont aménagés à la visite. Il débute aux pieds du volcan Monte Corona et s’achève sous l’océan Atlantique à cinquante mètres de profondeur. Après avoir visité la première partie, la plus intéressante à mon goût, nous sommes allés à Jameos del Agua. Cette seconde partie a été aménagée par l’artiste Cesar Manrique. Elle est plus accessible, mais semble moins naturelle.

On y trouve une cafétaria, où on a fait du flashing. Quelques personnes sont attablées. Le flashing est sportif car le lieu est hautement touristique et requiert beaucoup de vigilance. Les gens sont majoritairement autour d’un lac souterrain dans lequel se trouvent de très petits crustacés blancs. On continue la visite et traversons un restaurant actuellement fermé à cause de la Covid. On n’y a pas fait d’exhib, cela nous a paru sans intérêt. S’exhiber s’il n’y a personne, ça n’a rien d’amusant.

Cesar Manrique est à Lanzarote, ce que Gaudi est à Barcelone. On ne peut pas passer à côté de cet artiste polyvalent (sculpteur, architecte, urbaniste, peintre). Il a influencé le visage actuel de l’île en lui permettant de conserver son authenticité, loin des immenses resorts hôteliers défigurant les côtes canariennes de Tenerife et dans une moindre mesure, Gran Canaria. Il a imposé un cahier des charges strictes : aucun bâtiment plus haut qu’un palmier, maisons en blanc et vert, câbles enterrés…

A la sortie du restaurant, un jardin exotique et une  piscine d’une coruscante blancheur contrastant avec le noir de la lave ont été aménagés. Il est interdit de s’y baigner. Cesar Manrique avait une part de sadisme cachée ! Heureusement que la météo n’est pas optimale, sinon la tentation aurait été grande. On a fait de belles exhib publiques devant le bassin. Un Monsieur m’a surprise les seins à l’air. Malgré son masque, j’ai deviné un sourire… il allait jusqu’aux oreilles et dessiné un soleil de bonne humeur autour de ses yeux. Cela a permis de voir qu’il y avait une autre pièce à visiter, d’où il sortait : l’auditorium. Oups ! On a voulu visiter le petit musée interactif de volcanologie, mais il était fermé avec la pandémie.

Il est l’heure d’aller déjeuner. On trouve sur le chemin du retour un délicieux restaurant canarien proposant des spécialités originales. On s’est régalés. Nous sommes rentrés à l’hôtel vers quinze heures et avons profité de notre dernier après-midi pour préparer les valises, mais également se relaxer à la piscine en étrennant mon nouveau maillot de bain, un mini-bikini sexy !

Nous avons beaucoup aimé Lanzarote. On a été charmés par l’originalité de l’île, tourmentée, brute. On prend conscience de la force de la Nature. Les maisons blanches adoucissent les paysages et créent un oxymore vis-à-vis de la violence supposées des éruptions passées. On a fait de nombreuses exhib et flashing touristiques, les plus excitants ! Bye Bye Lanzarote ! Direction Gran Canaria le lendemain, c’est la plus grande île de l’archipel canarien où se trouve la « capitale administrative » : Las Palmas.


Peut être reconnaitrez-vous où ce flashing a été fait ? Moi je sais !


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